Coulommiers : Imprimerie Paul Brodard, 1906. — 30 p.
Tout d’abord, pour éviter tout malentendu, nous tenons à déclarer qu’il ne s’agit nullement d’une langue universelle, destinée à supprimer et à remplacer tôt ou tard les langues nationales; mais bien d’une langue internationale auxiliaire, destinée «à servir aux relations écrites et orales entre personnes de langues maternelles différentes». Ce serait la langue étrangère commune à tous les peuples, la seule par conséquent que chacun d’eux aurait à apprendre pour pouvoir communiquer avec tous les autres, en un mot, la deuxième pour tous (ido).